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9 décembre 2013 1 09 /12 /décembre /2013 17:20

 

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Les guides des droits des salariés 2014 (Salariés du privé, et Fonctionnaires et agents publics) sont dès maintenant disponibles en pré-commande. Les militants CFDT doivent contacter leur union régionale interprofessionnelle ou union départementale. Ils peuvent aussi télécharger tout le matériel destiné à leur promotion auprès des salariés. Cette année, thème du dossier spécial : "Mutuelle : vos nouveaux droits".

A télécharger au format pdf :

  • le 4-pages de pré-commande des guides et de l'agenda destiné aux militants ;
  • l'affiche A3 pour animer les panneaux syndicaux ;
  • le flyer A5 de promotion (avec marque-page détachable) joint aux guides livrés pour développer les ventes des guides auprès des salariés ;
  • les pubs.

 

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 10:33

publié le 14/11/2013 à 10H06 par Aurélie Seigne

La négociation d’assurance-chômage sera entamée au début de janvier 2014. Avant de s’engager sur d’autre sujets, les partenaires sociaux ont souhaité faire le bilan de leurs travaux antérieurs.
Les prochaines étapes

   

31 décembre 2013

Emploi
30 000 demandeurs d’emploi supplémentaires suivront une formation d’ici à la fin de l’année 2013 pour acquérir les compétences correspondant au
Assurance-chômage
La négociation Unedic, qui doit notamment mettre en œuvre les droits rechargeables, doit être conclue au plus tard le 31 décembre 2013
x besoins immédiats des entreprises
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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 10:25

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Invité du Grand rendez-vous Europe 1 et iTélé le 1er décembre 2013, Laurent Berger a fait le tour des grands sujets sociaux du moment, notamment, les derniers chiffres du chômage, la réforme annoncée de la fiscalité ou encore la montée du racisme et des populismes.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 10:21
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Remis ce matin à Jean-Marc Ayrault, le rapport Bailly, intitulé "Vers une société qui s’adapte en gardant ses valeurs", prévoit un assouplissement des règles et davantage de cohérence, tout en maintenant le principe du repos dominical.

Il y aura donc bien une loi. Deux mois après la fronde déclenchée par les magasins de bricolage, le rapport Bailly sur le travail dominical plaide en faveur d’un nouveau cadre législatif qui « encadre le dialogue social, et dont le volontariat doit être la clé de voûte ». Un signe encourageant selon la CFDT, qui se dit, forte des plus de 1 800 réponses à son questionnaire, « prête à s’inscrire dans un dispositif de concertation, afin de transformer ce rapport en un projet collectif ». Mais, d’ores et déjà, les préconisations du rapport « cherchent à apporter bon sens, cohérence, simplification, lisibilité et stabilité », résume Hervé Garnier, secrétaire national chargé du dossier. « Il a le mérite de pointer les difficultés actuelles de la législation. »

Dans le détail, le rapport suggère notamment de remettre à plat la cartographie des « zones autorisées à ouvrir avec une loi organisant les modalités de fixation des périmètres et d’octroi des contreparties ». Des compensations, aujourd’hui source d’inégalités de traitement entre les salariés selon le périmètre où ils se trouvent, qui pourraient donc dès 2014 laisser place à une harmonisation à travers le dialogue territorial et social, « tout salarié travaillant dans un commerce ouvert structurellement le dimanche en dehors des commerces alimentaires devra bénéficier d’un régime social de compensation ».

Réaffirmant que « la spécificité du dimanche doit être respectée », le rapport propose cependant de porter de cinq à douze le nombre de dimanches d’ouverture des commerces dans les communes, le nombre maximal de dérogations accordées par le maire passant ainsi de cinq à sept. Les commerçants auraient quant à eux la possibilité de « déroger cinq fois par an à la règle du repos dominical, sous réserve d’une obligation de déclaration préalable auprès du maire », afin selon lui de mieux répondre aux événements rythmant la vie économique (et pas seulement aux fêtes de fin d’année), précise Jean-Paul Bailly. Or, pour la CFDT, « l’accroissement du nombre de ces dérogations au niveau municipal et la liberté totale offerte aux commerçants d’ouvrir cinq dimanches par an ne paraissent pas adaptés au principe de lisibilité qui doit veiller à une absence de concurrence entre les territoires ».

En revanche, les enseignes de bricolage, qui demandaient une dérogation permanente au repos dominical – à l’instar de celle dont bénéficient pour l’instant l’ameublement ou le jardinage – n’ont pas obtenu gain de cause. À terme, le rapport propose d’ailleurs de revenir sur les dérogations octroyées à l’ameublement… « La fin programmée des secteurs admis de plein droit à déroger au repos dominical », se félicite la CFDT.

aballe@cfdt.fr

photo : © Patrick Allard / R

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 09:53
Racisme : “Quand les gens se lâchent, il faut dire stop”

publié le 01/12/2013 à 10H42 par N. B.

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Plusieurs milliers de personnes ont manifesté partout en France le 30 novembre pour dire « stop au racisme ». Laurent Berger était en tête du cortège parisien.

Les responsables des six organisations syndicales qui avaient appelé conjointement à manifester aux côtés des associations contre la montée du racisme ont défilé ensemble à Paris, derrière la banderole unitaire « Ensemble contre le racisme ». Comme l’a rappelé Laurent Berger, « face à une montée du racisme très inquiétante, dangereuse, il a été décidé qu'il était tout à fait légitime que les syndicats soient là. Je m'étonne que la présence des syndicats étonne : ça n'empêche pas de travailler sur l'emploi, le pouvoir d'achat, la protection sociale ». Avant de rejoindre le cortège CFDT, vivant et coloré, le secrétaire général de la CFDT a pris soin de préciser une nouvelle fois que « quand les gens se lâchent en disant des choses horribles, eh bien il faut dire stop. Aujourd'hui il y a besoin que des républicains disent le racisme ne passera pas ».

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 15:14

 

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Elle devait être employée domestique à Paris, et s’est retrouvée victime d’esclavage moderne. Originaire des Philippines, Zita Obra avait quitté son pays en 1994 pour gagner de quoi subvenir aux besoins de sa famille. Pendant cinq ans, elle subira de graves exploitations et privations de la part de ses "employeurs" avant de s’échapper. Soutenue par la CFDT, elle est parvenue à les faire condamner quelques années plus tard. Entre temps, elle est devenue secrétaire générale du syndicat des salariés du particulier employeur d’Ile-de-France où elle s’attache à défendre ces salariés qu’elle appelle « invisibles ». Son ambition : faire sortir ces travailleurs de l’isolement qui les rend si vulnérables, et améliorer durablement leurs conditions de vie et de travail. Rencontre.

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 14:52

publié le 26/08/2013 à 08H43 par Le JDD

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Interrogé à la veille de rencontrer le Premier ministre sur l'avenir des retraites, Laurent précise une fois encore les attentes de la CFDT avec un leitmotiv : la justice.

Vous serez le premier représentant syndical reçu lundi par Jean-Marc Ayrault. Quelle est votre appréciation du projet de loi sur les retraites, notamment la hausse de la CSG ?

Je suis très réservé sur cette hausse pour financer les retraites. Les recettes de la CSG doivent être attribuées en priorité à la santé et à la perte d'autonomie. Pour les retraites, l'augmentation modérée des cotisations des entreprises et des salariés est plus logique.

Êtes-vous favorable à l'allongement de la durée de cotisation ?

Nous ne la réclamons pas. Mais la durée de cotisation est plus équitable que le report de l'âge, qui pénalise les plus fragiles. L'allongement de la durée de cotisation ne doit pas être accéléré d'ici à 2020. Il faudra respecter un partage équilibré entre la vie professionnelle et la retraite.

Faut-il aussi mettre les retraités à contribution ?

Oui, à condition que les retraités qui touchent de petites pensions ne soient pas pénalisés. La CFDT est favorable à l'alignement du taux de CSG des retraités, de 6,6 %, sur celui des salariés (7,5 %), à condition que cette mesure finance la dépendance vieillesse.

Craignez-vous une réforme a minima ?

Ce ne serait qu'un simple replâtrage si on ne luttait pas contre les inégalités. Les femmes bénéficient de retraites largement inférieures à celles des hommes. Les jeunes sont pénalisés, car une partie des périodes d'apprentissage et de précarité ne sont pas prises en compte. Ils subissent aussi davantage le chômage. Idem pour les polypensionnés, qui ont cotisé à différents types de régime et subissent des incohérences. Enfin, la pénibilité de certaines carrières doit être prise en compte.

Le gouvernement vous a écouté avec la possible création d'un compte individuel pénibilité…

S'il le fait, ce sera très positif. Nous nous battons depuis vingt ans pour que la pénibilité soit prise en compte dans le calcul des retraites. La CFDT estime que dix ans d'exposition à un facteur de risque pour la santé – le travail de nuit, les charges lourdes, le froid… – doivent correspondre à un an de réparation : un départ anticipé ou une formation pour évoluer.

Quelles avancées attendez-vous pour les femmes ?

Nous souhaitons que la majoration de la retraite de 10% actuellement en vigueur lorsqu'il y a trois enfants profite davantage aux mères. Il faudrait remplacer ce système par une somme forfaitaire par enfant, qui soit attribuée en priorité aux femmes. Ce forfait apparaîtrait progressivement.

Combien coûterait la prise en compte de la pénibilité ?

Difficile à dire, mais la justice sociale a un coût. Les entreprises qui proposent des travaux pénibles doivent en payer une partie.

Vos propositions vont braquer le Medef…

Le Medef fait une rentrée offensive, en oubliant les salariés dans l'entreprise. Ses propositions sur les retraités sanctionnent les plus vulnérables. Sur la compétitivité, Pierre Gattaz n'évoque que le coût du travail, et jamais le dialogue social, l'innovation… On n'entend rien sur les négociations à venir : la formation professionnelle et l'assurance chômage. Il s'adresse directement au gouvernement, en zappant les syndicats. J'espère que ce n'est qu'une posture, à quelques jours de l'université d'été du Medef.

Une partie de la gauche s'interroge sur la pertinence de cette réforme à six mois des municipales. Êtes-vous choqué?

Il faut réformer, car les jeunes perdent confiance dans ce système de solidarité intergénérationnel. Il faut leur montrer que la retraite par répartition sera pérenne. Pour cela, toutes les inégalités doivent être réduites.

La CGT, FO, FSU et Solidaires manifesteront le 10 septembre. Resterez-vous hors de ce mouvement ?

Manifester le 10 septembre est hors de question pour la CFDT. La vocation d'un syndicat n'est pas d'organiser des défilés avant de connaître le résultat des concertations. Notre syndicat privilégie la discussion pour obtenir des avancées. Si le gouvernement ne répond pas à nos propositions, nous réfléchirons à une autre mobilisation. Le 10 octobre, 5.000 représentants CFDT du public et du privé se réuniront Porte de Versailles à Paris à l'occasion d'une campagne de mobilisation sur l'emploi et la qualité de vie au travail.

Quelle est votre vision du climat social de cette rentrée ?

La situation reste difficile et préoccupante. Malgré le frémissement économique, rien n'est résolu sur les fronts du chômage et du pouvoir d'achat. Il y a un fort pessimisme chez les salariés. Il n'y a pas de place pour l'attentisme du côté des politiques, du patronat et des syndicats. Sortons de cette crise de responsabilité, de l'incapacité à donner de l'espoir et à résoudre les problèmes concrets.

La courbe du chômage va-t-elle s'inverser ?

C'est le problème numéro un, bien avant les retraites. Le chômage mine la société française. Il faut que le gouvernement remobilise sur ce sujet, le patronat doit recourir aux contrats de génération. Les chefs d'entreprise sont aussi responsables. Le Medef ne peut plus affirmer : "Baissez les charges sociales, et laissez-nous faire."

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 10:45

 

 

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Le Premier ministre a reçu les partenaires sociaux dans le cadre de la concertation sur la réforme des retraites ce lundi 26 août. Laurent Berger, secrétaire général, analyse les annonces du Premier ministre (cliquez pour voir la vidéo).

  http://www.dailymotion.com/video/x13os8z_retraites-le-dernier-round-de-la-concertation_news

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13 août 2013 2 13 /08 /août /2013 10:51

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Le 8 mars 2012, à l'occasion de la Journée internationale des femmes, l'Internationale des services publics reconnaît et salue le travail réalisé par les femmes syndicalistes, qui se trouvent en toutes circonstances au coeur de la lutte que nous menons en faveur de l'égalité et des droits humains et syndicaux.

Femmes syndicalistes : l'ISP et la FSESP célèbrent les femmes engagées dans le syndicalisme
Femmes syndicalistes : l'ISP et la FSESP célèbrent les femmes engagées dans le syndicalisme
Le 8 mars 2012, à l'occasion de la Journée internationale des femmes, l'Internationale des services publics reconnaît et salue le travail réalisé par les femmes syndicalistes, qui se trouvent en toutes circonstances au coeur de la lutte que nous menons en faveur de l'égalité et des droits humains et syndicaux.

 

Femmes syndicalistes : au cœur de la lutte en faveur des droits syndicaux fondamentaux
L'Internationale des services publics célèbre le 8 mars la Journée internationale des femmes

Le 8 mars 2012, à l’occasion de la Journée internationale des femmes, l’Internationale des services publics reconnaît et salue le travail réalisé par les femmes syndicalistes, qui se trouvent en toutes circonstances au cœur de la lutte que nous menons en faveur de l’égalité et des droits humains et syndicaux.

Nous tenons à exprimer notre solidarité envers nos camarades, ces femmes qui œuvrent en première ligne sur le terrain pour dispenser des services publics essentiels aux personnes les plus vulnérables de nos communautés. Nous appelons les gouvernements à reconnaître leur précieuse contribution à la société et à garantir, respecter et renforcer leurs droits humains et syndicaux.
 
Peter Waldorff, Secrétaire général de l’ISP, a déclaré : « Nous n’acceptons pas que 15 femmes syndicalistes aient récemment été arrêtées en Turquie, simplement parce qu’elles réclamaient le respect des droits des femmes. Nous n’acceptons pas que des dirigeantes algériennes soient emprisonnées pour avoir manifesté contre les conditions de travail précaires. Nous n’acceptons pas que des milliers de femmes perdent leur emploi au Botswana, parce qu’elles défendent leur droit à un salaire décent. Et nous n’acceptons pas, alors que les femmes sont au centre de la lutte du printemps arabe, qu’il soit encore nécessaire de protéger leurs droits humains fondamentaux.
 
« Un tel manque de respect à l’égard des droits humains et syndicaux des femmes nous rend tous plus faibles. Les gouvernements doivent savoir qu’ils ne sont pas au-dessus des lois et que, ensemble, nous leur demanderons de rendre compte de leurs actions. »
 
Carola Fischbach-Pyttel, Secrétaire générale de la FSESP, a ajouté : « En cette période de crise économique, la priorité accordée aux mesures d’austérité s’apparente à la sagesse des fous. La question de l’égalité des genres est en net recul. Il est démontré que les services publics, dont la main-d’œuvre se compose majoritairement de femmes, sont indispensables pour promouvoir et parvenir à l’égalité des genres. Or, ces services sont actuellement menacés, ce qui risque non seulement de porter préjudice au modèle social européen, mais aussi d’aggraver les inégalités.
 
« Cela ne peut plus durer. Nous exigeons que nos gouvernements agissent maintenant pour garantir les droits humains fondamentaux des femmes, notamment le droit à la liberté syndicale et à la négociation collective, qui est inscrit dans le droit du travail international et dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Il faut également veiller au respect des droits humains spécifiques que sont les droits aux soins médicaux, aux services sociaux essentiels, à la protection sociale, à un niveau de vie satisfaisant, et le droit de vivre et de travailler sans subir de violence d’aucune sorte. »
 


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13 août 2013 2 13 /08 /août /2013 10:32

 

  par BFM TV
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Invité de BFM TV et RMC, le 1er Mai 2013, Laurent Berger explique le sens du 1er Mai que la CFDT organise avec l'Unsa et la CFhttp://www.dailymotion.com/video/xzh7xy_bourdin-direct-laurent-berger-01-05_newsTC.

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